PIERVALL’eau de
Pont-Saint-Pierre
Logempré, le château de
Pont-Saint-Pierre, possession d’Adrien Josse, maire de la localité, fut cédé
avant la guerre de 1939-45 à une famille d’illustres industriels du Nord, les
Descamps-Béghin. Le domaine du château comprenait des prairies, des bois et un
magnifique parc. Une source très ancienne jaillissait à proximité des murs de
la propriété, non loin de la rue René Raban et de l’usine Philbert.
Débuts de l’eau en bouteille
Le marché de l’eau de table était
en plein essor en France car les besoins étaient énormes. En général, les
habitations privées n’étaient pas raccordées à un réseau d’eau collectif. Dotés
d’une hardiesse industrielle innovante, les Descamps-Béghin et leur fils Jean-Claude
font faire différentes études de cette source : biologiques,
physico-chimiques, organoleptiques, débitmétriques… ce qui permet de constater
qu’à 16m de profondeur le débit constant de la nappe phréatique est de 90 m3/heure.
Répondant aux critères de potabilité, cette source pouvait être considérée
comme parfaite pour la consommation, notamment pour les enfants en bas-âge.
L’implantation
Parallèlement l’étude d’impact
commercial est entreprise, ainsi que l’implantation du lieu d’embouteillage.
Dans le parc cela semblait difficile aussi le choix, plus fonctionnel, se porta
sur les prairies situées à l’angle de la D321 (rue René Raban) et de la D508
(route de Flipou), le long de la voie ferrée. Les autorisations accordées, la
décision fut prise de construire une usine ultramoderne dont Jean-Claude
Descamps deviendrait le PDG. Nous sommes dans la période des Trente glorieuses,
la timidité n’est pas de mise chez les industriels !
Mise en place progressive
L’année 1958 est celle d’un grand
chantier où se côtoient tous les corps de métiers. L’entreprise Vallette
effectue le gros-œuvre. Première embauche : Jacqueline Meunier-Prévost,
comme secrétaire administrative, qui trouve refuge dans la salle à manger de la
ferme du château située à Calleville, en cohabitation avec les exploitants
agricoles, au demeurant bien sympathiques qui à l’occasion réservent à
Jacqueline une part de gâteau de leur dessert. …. Le personnage essentiel de la
réussite de la mise en route de l’entreprise fut sans conteste Monsieur
Caunille. Il fut confronté à tous les problèmes administratifs, techniques,
comptables, humains... Madame Meunier-Prévost raconte : « Il s’est
investi sans compter dans tous les domaines y faisant face et a réussi grâce à
son travail et à ses capacités d’adaptation. Il a dû certainement avoir eu
beaucoup de nuits blanches ! Le souvenir que je garde de lui c’est sa
gentillesse et ses qualités humaines »
L’usine en 1958 |
L’usine est construite en huit mois, à environ 300m du captage de la source. Elle se composait de deux structures : l’exploitation et l’administration. La partie exploitation comprenait au premier niveau le sous-sol, lieu de stockage de la matière première, des produits finis et des machines. Au deuxième niveau, l’embouteillage et au troisième le laboratoire, le contrôle, l’élaboration des sirops orange, citron, et la limonade dont les bouteilles après embouteillage seront fermées par un système mécanique.
Puis viennent les embauches pour la
production, la logistique et la maintenance… Le service commercial est
constitué, avec pour objectif la prospection du nord-ouest et de la région
parisienne. L’approvisionnement en contenants et emballages tels que les
bouteilles en verre St Gobain, les casiers bois 10/12 trous, les palettes et
les caisses palettes estampillés Pierval est prêt.
Début de
la production
Le 13 janvier 1959, l’usine est
opérationnelle. L’eau canalisée dans un réseau souterrain protégé, sans contact
avec l’extérieur, débarrassée de ses impuretés par des filtres porcelaine
mettait 45 secondes entre le moment où elle jaillissait et sa mise en
bouteilles capsulées. Au niveau de l’embouteillage, des chaines sans fin
entrainaient les bouteilles. La laveuse automatique effectuait de nombreuses
opérations : pré-rinçage, trempage, lavage… Sans aucune manipulation
chaque bouteille était soumise à l’action germicide de rampes génératrices aux
rayons UV (ultra-violets) avant son remplissage par deux soutireuses. En 1962,
13 000 bouteilles sortaient par heure de ces machines. Ainsi conditionnée,
l’eau Pierval était vendue sur place, livrée ou enlevée par route ou par rail.
La livraison
Un U23 de la fin des années 50 |
Certains se souviennent encore des premiers balbutiements de livraison avec le camion Citroën U23 conduit par M.Goujon, transfuge des établissements Le Capitaine. Ce véhicule se composait d’une cabine et d’un plateau en bois à deux pentes convergentes dans l’axe longitudinal sur lequel étaient empilées les casiers bois Pierval, le tout sans arrimage ! Les livraisons aux sein des maternités et hôpitaux de Rouen se déroulaient pourtant sans encombre ! Durant cette période on remarqua le dynamisme du service commercial de M. Porte avec des moyens conséquents : car publicitaire d’avant-garde, publicités de toutes sortes tels que buvards de collection, pins, petites montgolfières, véhicules miniatures, etc., tout cela bien sûr à l’effigie de Pierval .
En plein développement
En 1960, un million de bouteilles
Pierval consignées furent vendues, la croissance était énorme. L’entreprise se
dota du service maintenance indispensable à son bon fonctionnement, pilier
d’une bonne productivité. Les actions curatives, préventives et sécuritaires
furent assurées par de nombreux corps de métiers en interne comme en externe
tels que : mécaniciens, électriciens, tourneur, menuisiers, peintres,
maçons… Un service de gardiennage et de nettoyage des chaines d’embouteillage
de nuit fut mis en place. La société possédait sa propre station en carburants
pour ses véhicules. Un ramassage des personnels de la haute vallée fut créé.
L’extension des aires de stockage extérieur devint nécessaire. A cette époque
la superficie de l’entreprise atteignait 13 000 m².
Au fil des années le parc poids lourds se développe, les vieux Berliet sont remplacés par d’autres, plus opérationnels et surtout plus confortables pour le personnel routier. Du 7 tonnes au 25 tonnes de charge utile, l’ensemble se composait d’une trentaine de camions entretenus par un service de mécanos, Jean, Bernard, Robert, Guy, Jacques, André…, des plus dévoués et compétents, sans oublier l’entretien des chariots élévateurs. Chaque jour, la moitié de la clientèle du nord-ouest jusqu’à la frontière belge était livrée en heure par les routiers de la Société Pierval. La disponibilité des personnels de la logistique, de l’entretien et de la fabrication était remarquable, le travail de nuit permettait aux livraisons d’être effectuées dans les temps. Les 35 heures n’étaient pas d’actualité. Les brasseurs et les grossistes venaient s’approvisionner à la Source. Une équipe Gare chargeait et déchargeait manuellement chaque jour les bouteilles en caisses ou en vrac dans les wagons SNCF. L’approvisionnement entre l’usine et la gare située à proximité nécessitait la rotation de petits plateaux qui se plaçaient parallèlement à côté du wagon reliés par un convoyeur à rouleaux pour assurer le transfert des casiers.
Chargement de wagon |
Coup de foudre
La manutention, un dur travail
A ce sujet, il faut mettre en
évidence la pénibilité du travail supporté principalement par les personnels :
de la gare, du transport routier, des extrémités de chaines d’embouteillage, de
la cour, travaillant sans abri par tous les temps. A cette époque, les
casiers bois de 10 trous eau pesaient 17 kg, ceux de 12 trous limonade 25 kg et
la palette Pierval de 1,6m x 1,6m en hêtre pesait environ 40 kg. Responsable et acteur de l’équipe de
nuit, je tiens à rendre hommage à ces personnels pour la plupart
disparus : les deux Jean, Michel, Marcel, Albert, Bernard, dit Loulou…,
qui n’hésitaient pas à prolonger leurs horaires pour renforcer l’équipe du
matin, pour leur courage et leur dévouement. Loulou pouvait charger à lui tout
seul un semi de 600 casiers pendant que nous chargions une semi de 1100
casiers, le tout à la main ! Le personnel pouvait de temps à autre
percevoir gratuitement quelques bouteilles et du sucre en poudre provenant de
sacs endommagés, mais il n’y avait pas d’obésité chez Pierval.
Rachats
En 1965, la SGEM de Vittel rachète
l’entreprise Pierval, et c’est une nouvelle ère qui s’annonce. Fin du
paternalisme familial, dorénavant, rentabilité et productivité sont les
maîtres-mots. L’automatisation des machines, la normalisation des contenants
tels que le passage aux palettes 1,6x1,6 m et conteneurs SNCF, aux casiers
plastiques CFP et plus tard à la bouteille PVC fut à n’en pas douter une
amélioration notable. L'offre se développait avec le Ricqlès. Pierval
embouteillait de l’eau plate mais aussi de l’eau gazeuse.
Mai 1968
L’activité, bien que ralentie, fut
maintenue sur ordre de la Préfecture afin d’approvisionner au mieux les Centres
Hospitaliers de Rouen et des environs.
Juillet 1969, la lune !
Le travail de l’équipe de nuit
d’affrètement est accompagné par les radios des PL. Un événement majeur a été
annoncé aux informations. Vers 3h45 nous sommes tous à l’écoute, les regards
rivés sur la lune que nous voyons nettement. A 3h56 Armstrong y pose le pied.
Nous venons de vivre en direct un moment historique en chargeant nos camions !
Agrandissements
L’entreprise est à l’étroit. Une
étude est engagée pour l’agrandir au-delà de la route de Flipou à l’emplacement
de la motte féodale du Castelier, sujet sensible ! Pierre Vialet,
directeur de l’époque dira : « nous avons bien déplacé quelque peu
cette route au préalable et gagné quelques m2 mais ce faisant nous allons
commettre un sacrilège car cette motte est l’une des plus belles de France. »
La restructuration est initiée par Vittel, un terrain de 9 hectares, appelé
Plaine Saint Pierre, est acheté près de la route des Andelys, le long de la
voie ferrée.
Transport par chemin de fer
La nouvelle implantation, près du Catelier |
L’agrandissement entraîne le remplacement d’une grande partie du transport routier par le chemin de fer. Des plateformes régionales telles celles de Rennes, Rouen, Douai, Paris, etc. sont créées et alimentées par voie ferrée. A cette fin, une surface importante de stockage est construite Plaine Saint Pierre à proximité de la voie ferrée. Un embranchement privé avec une automotrice permettait la manœuvre de rames composées de 24 à 30 wagons. Cette époque voit l’embauche se développer, surtout pendant la période estivale, l’entreprise comptait entre 350 et 450 personnes. Un vaste programme de formation est engagé permettant aux chauffeurs routiers de garder un emploi.
Le foot
Un esprit sportif animait quelques
personnes, Janine, André, Jean-Pierre, autour du directeur Pierre Vialet. Après
des matches interservices , interentreprises, une équipe de football est
engagée dans le championnat corporatif de la Ligue de Normandie. Le terrain
annexe actuel de Pont-Saint-Pierre est aménagé par le groupe de sportifs du
Pont-Saint-Pierre Football Club (PFC) : mise en état de la pelouse, pose
de buts aux normes, installation de deux wagons aménagés en vestiaires. Grand
merci aux Cyril, Roger, Philippe, Jacky, Michel, André, Christian, JP (2), Jean,
Pierre, Jacques… au service entretien, et à d’autres. La réussite fut totale
car la première année le PFC devenait champion de son groupe et recevait le
Ballon d’Or de la Ligue de Normandie.
Progrès social
Ce fut le déclencheur des relations
qui s’établirent entre la société mère et sa filiale. Les membres du PFC furent
invités à Vittel et furent reçus par le PDG Guy de La Motte Bouloumié et le
secrétaire du Comité d’entreprise Arthur Staub, chantre du syndicalisme
Vittellois. L’hébergement se faisait au Centre pré-olympique de Vittel
construit pour les J.O de Munich 1972. Un match eut lieu puis vint la visite
des installations de la SGEM de Vittel, lors de laquelle chacun put apprécier
l’écart de niveau entre les deux sites : à Vittel, une usine grandement automatisée,
un laboratoire de contrôle avec animalerie (rats, souris) travaillant sur les
éventuelles conséquences du futur PVC employé à la fabrication des bouteilles,
locaux sociaux de qualité, restaurant d’entreprise, centrale d’achats… Au
retour les salariés de Pont-Saint-Pierre se doteront d’une représentation
syndicale leur permettant d’acquérir une mutuelle santé, de disposer d’une
pièce pour les repas, de mettre sur pied un centre d’achats ….
La cantine |
Le passage au PVC
1971-1973 - La production ne cesse
de progresser et atteint 115 millions de bouteilles par an dont 60% d’eau de
source et 40% de sodas nécessitant 3000 tonnes/an de sucre.
En 1974, des essais de forage sont effectués
à la Plaine St Pierre, dont la profondeur approche les 50 mètres. La
fabrication des bouteilles plastiques PVC (polychlorure de vinyle) commence.
Des extrudeuses seront installées qui permettent de sortir après des tâtonnements
(bouteilles qui fuient) jusqu’à 300000 bouteilles par jour, qui doivent
remplacer les bouteilles en verre consignées, qui seront stockées dans des
grandes cases bétonnées situées route de Flipou, après le passage à niveau. L’eau
de source était de plus en plus appréciée des consommateurs et avait une
progression des ventes de 30%. Pour être de plus en plus performante,
l’entreprise ne cessait de moderniser ses installations industrielles. On
soutirait plus de 20000 bouteilles par heure. La palettisation des caisses, des
cartons, des packs demandaient moins de manutention… revers de la
médaille : les incitations au départ volontaire seront proposées avec de
substantielles indemnités qui diminueront au fil des années…
1987 - Le géant Nestlé détenait 30%
de participation dans la SGEM de Vittel en 1969 pour devenir majoritaire.
D’hexagonale, la SGEM de Vittel ainsi que Pierval devenaient mondiales …
En 1992, sur décision de la Commission Européenne relative au contrôle des opérations de concentration des entreprises (monopole) et du respect de la concurrence effective, Nestlé doit se séparer des marques d’usine d’embouteillage. Ainsi l’usine Pierval fut sacrifiée sur l’autel européen. Quel devenir pour les 120 employés ? Pour l’anecdote le talentueux Arthur Staub de Vittel, dans un dernier baroud d’honneur intervient en 1999 à l’Assemblée Nationale, rappelant avec véhémence la triste fin "de cet établissement qui s’appelait Pierval et qui comptait 200 salariés dans l’Eure et qui a été cédé pour répondre aux exigences de la Commission Européenne de Bruxelles… " .
En 1991, Pierval, St Yorre, Thonon
et Vichy Célestins sont absorbés par le groupe Castel, qui regroupe son pôle
« eaux » au sein de la Compagnie Générale des eaux de sources, qui ne
commercialise qu’une seule marque : la Cristalline.
L'usine de 1977, qui va être remplacée par l'ensemble ci-dessous beaucoup plus compact |
En 1993, l’usine de Pont-Saint-Pierre est transférée à Plaine st Pierre, finie la bouteille en PVC, remplacée par la bouteille de 1,5 l en PET, inaltérable, incassable, résistante, plus légère, recyclable et transportable initialement en vrac sous forme d’un petit cylindre de quelques centimètres dont le goulot est préformé. Sur le site d’embouteillage ce cylindre subit un passage dans un four, est placé dans un moule puis soufflé pour que la bouteille prenne sa forme définitive.
Le soufflage |
En 1999, la branche « eaux de
sources » passe au groupe Roxane qui en 2008 s’associe au groupe japonais
Otsuka, et devient leader en eaux plates grâce à Cristalline.
En 2001, le Syndicat d’Assainissement de Romilly-Pont-Saint-Pierre accuse Pierval d’être à l’origine du dysfonctionnement de la Station d’épuration située à Romilly. Les rejets sucrés sont considérés comme la cause essentielle des mauvaises odeurs émanant de la station, ce qui entraîne la délocalisation de la production des jus de fruits et du thé, soit 11 millions de bouteilles par an.
En 2003, la canicule dope les
ventes, une aubaine pour Pierval qui travaille beaucoup à l’export, et la
production passe à 400 000 bouteilles par jour.
Aujourd’hui, Pierval emploie une
quarantaine de salariés et sa production est d’environ 100 millions de
bouteilles par an. Sauf erreur, la Pierval est produite par la source Lilas et
la Cristalline par la source Emma.
Au vieux
Normand
On ne peut clore sans évoquer
l’Auberge Au Vieux Normand, à l’angle de la route de Flipou et de la rue
René Raban, à l’abri de grands marronniers plantés à l’emplacement de
l’ancienne église de la paroisse Saint-Pierre disparue sous la Révolution.
C’était déjà le lieu de rendez-vous
bien sympathique des habitués et des salariés de l’usine Philbert.
L’arrivée de Pierval accentua le
pouls de son activité. Madame Jacqueline Lecoq, aidée de ses proches, se mit
rapidement au rythme des besoins des salariés, des clients, des transporteurs
et des visiteurs de Pierval. L’accueil y était chaleureux. Jacqueline fit
preuve durant plusieurs décennies de dévouement, de convivialité. Toujours
disponible à n’importe quelle heure de la journée, tôt le matin ou tard le
soir, chacun pouvait y trouver un sandwich, un repas, une boisson, servis avec
une gentillesse et une humeur constantes.
Chez Jacqueline, les fins de
semaine étaient animées et bien déstressantes, après les dures journées de
labeur. Son franc-parler et sa faconde mettait tout son monde à l’aise. Hélas,
le transfert de l’usine et l’âge de la retraite sonnèrent le glas de l’activité
de l’Auberge et la fin d’une période que beaucoup avaient su apprécier.
Le
saviez-vous ?
Le poids d’une bouteille plastique vide de 1,5 litre est passé en 20 ans de 45 g à 28 g et intègre 25% de matière recyclée, avec bouchon Snap clic solidaire de la bouteille.
Pour la petite histoire : initialement l’eau de la source Pierval avait l’appellation : eau de table ou eau plate, avant eau de source, et quand on voulut l’appeler eau minérale, la commission qui statuait sur la dénomination se souvint des premières appellations et refusa cette demande, ce qui eut des conséquences importantes pour l’exploitant mais également pour la commune de Pont-Saint-Pierre qui aurait alors perçu des royalties très intéressantes par bouteille soutirée, et devenue très riche...
|
1960 |
1973 |
2020 |
production
annuelle |
1 million |
100 millions |
Plus de 100 millions |
personnel |
environ 40 |
400 |
40 |
profondeur
forages |
160m |
40 m |
plus de 100 m |
propriété |
français |
français, et suisses en 1987 |
français et japonais |
nappe |
phréatique |
phréatique |
aquifère |
Sources
- Publications Pierval
- Témoignages et documentation de
l’auteur
- Arthur Staub, aujourd’hui disparu, cité dans le texte, a marqué un certain nombre de salariés situés en bas ou en haut de l’organigramme Vittel/Pierval. Je recommande la lecture de Tous Talentueux, éditions Eyrolles, sous la direction de J-M Peretti et particulièrement le chapitre 14